Avez vous déjà vu un bolide lancé à pleine vitesse ? Alors bienvenue dans l’univers du groupe lillois Overdrivers.

Un rock authentique et des compos originales que l’on savoure à tombeaux ouverts, à l’écoute de l’album « Rockin’ hell » sorti en 2016 et de son deuxième moteur tout aussi explosif « She’s on her period « en 2018. 

Avec « Big Mary », « Girls gone wild » , c’est un festival de riffs puissants sous l’autorité du chanteur, digne héritier des cordes vocales de Bon ou Brian. Vous l’avez deviné, ce rock bien roulé rejoint l’esprit du Mythique AC/ DC ou de la puissante machine australienne Airbourne. 

«  Dirty girl’s island » est un formidable clin d’œil au magique Riff Raff des frères Young. 

Overdrivers nous coupe ensuite le souffle sur « The best blow job »,  véritable apnée électrique. 

Chaque titre accroche les tripes de rocker avec un impact à décorner tous les taureaux de l’enfer, notamment dans « Hells hounds »

«  Show your boobs » déshabille le tympan gauche pour flirter avec le droit.

On est surpris par la note écossaise pur malt de « Bottom’s up » qui donne envie d’enfiler le kilt ou de le tomber, c’est selon.

Et si l’on devait s’expatrier dans les « High mountains » on irait sûrement avec ces quatre chevaliers, armés de la voix puissante d’Adrien Desquirez, de la folie de son comparse guitariste, Anthony Clay, de l’impétueux  bassiste Sebastien Lorquez, et de l’énergie combative du batteur, Florian Morgano.

Voici venue une nouvelle race de templiers, ceux du rock français  sous la bannière de Overdrivers, qui pourraient bien en devenir les tauliers.

La suite très bientôt. Création en cours.

 Mais chut, surprise à venir.

IGB