Kalahari est un groupe de métal né d'une idée qui trouve son identité en 2017. De puissants  riffs galopants sont alternés avec des arpèges acoustiques et des mélodies sinueuses.

Les paroles ont des thèmes sociaux et existentiels.

Le groupe de métalleux italiens revient avec un nouvel EP plein de surprises.

La pochette est une œuvre par Ludovico Cioffi – LC Artworks, designer de Nobody Has Heart, Nightland et Genus Ordinis Dei entre autre

La chanson titre, « Theia » commence par une ambiance envoûtante enchainée par une belle mélodie, avant de rentrer dans le vif du sujet métal, initié par un grognement sorti de l'enfer.

Le morceau alterne les moments de métal pur et des périodes de calme apprécié.

« Followers of the Lich » sonne plus comme un morceau de hard-rock classique à la Maiden, nonobstant quelques grognement qui nous rappellent l'univers du groupe. Un superbe solo de six cordes se glisse au milieu du vacarme et apaise ,le temps de quelques riffs, l'atmosphère.

« Zombie Night », morceau de trash par excellence fait la par belle aux voix qui s'entremelent gracieusement pour des textes clairs au service des cordes.

« I Am the Mountain », Balade à la Metallica, belle voix juste et riffs délicieux en font un morceau en devenir qui devrait trouver sans aucun doute son public.

On termine cet EP avec « Cabled Core », qui revient aux sources du métal enchaînant les gros riffs, une batterie dynamique et une belle voix qui sert parfaitement la chanson.

En définitive, cet EP est de bonne augure pour l'avenir de ce groupe qui, si il reste dans cet optique pourrait produire une belle surprise en sortant son prochain album !